Notre santé physique et mentale dépend de 3 facteurs:
notre patrimoine génétique
notre environnement
notre hygiène de vie.
Depuis quelques années, de nombreuses recherches scientifiques accumulent les preuves que notre hygiène de vie, dont l'hygiène mentale, l'hygiène physique, l'activité physique et l'alimentation, peut influer énormément sur notre santé, en utilisant les capacités gigantesques que notre corps a pour se reconfigurer.
Ce qui veut dire que même avec un patrimoine génétique peu favorable, ou un passé physique ou émotionnel chargé, il existe une myriade de possibilités pour compenser tout ça.
C'est ce qu'on appelle la plasticité. Cela veut dire que notre corps et notre cerveau, à tout âge, ont la capacité de se reprogrammer, de se reconfigurer, de se régénérer et même de se réparer et de se reconstruire, pourvu qu'on dispose des bons outils.
Mes expériences de vie particulièrement difficiles m'ont obligé à trouver des solutions pour survivre à la fois au niveau physique et au niveau émotionel.
Dans ce parcours, j'ai découvert des recettes basées sur les systèmes de récompense, la résilience, la plasticité, l'hygiène physique, l'hygiène émotionelle et la nutrition.
C'est pourquoi maintenant, j'ai envie de partager mes recettes avec le plus de gens possible.
Ces recettes sont basées sur les découvertes scientifiques récentes dans les domaines des neurosciences, de l'épigénétique, des cellules souches ou encore de la nutrition et du microbiote. Certaines de ces recettes sont aussi appliquées depuis très longtemps, avant qu'on en ait les bases scientifiques.
Ces recettes sont simples, faciles à mettre en oeuvre et efficaces. Certaines sont universelles. Certaines sont plus adaptées à certaines personnes. Certaines sont plus adaptées à un certain moment. Mais toutes sont basées sur 3 phases:
une phase d'analyse de la situation physique, émotionelle et environnementale de la personne
une phase de déconnexion et déconstruction des stimuli et schémas toxiques
une phase de reconnexion et reconstruction avec des stimuli et des schémas bénéfiques sur le long terme pour la personne
Le but ultime est la reprogrammation pour chaque personne d'un système de récompense individuel et durable, ainsi que la reconstruction et l'optimisation du cerveau et du corps pour profiter au mieux de la vie.
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Auto-guérison et effet placebo
Depuis plusieurs décennies, les tests d'efficacité des nouveaux médicaments évaluaient leurs effets par rapport à des "médicaments" vides de substance active. Ce médicament vide est appelé "placebo", du latin "je plairai". Le médicament était considéré comme efficace si le pourcentage de personnes ayant une amélioration de leur maladie était supérieur au pourcentage de personnes "guéries" par le médicament placebo. Or, des fois, le pourcentage de la population placebo peut atteindre 30%. Pour les vendeurs de médicaments, cela representait un problème, car il fallait alors que leur produit puisse traiter au moins 30% de la population.
Et chose curieuse, ce n'est que très récemment qu'on s'est rendu compte que 30% de la population était capable d'aller mieux, sans médicament. La seule conclusion est que ces personnes (1) ont enclenché un processus d'auto-guérison, et (2) ce prosseus a été initié dans leur cerveau.
Donc logiquement, quoique tardivement, des progammes de recherches nationaux ont été mis en place pour comprendre de processus. Le but ultime, par encore avoué publiquement, est de passer de 30% à 100%, et à terme par des techniques mentales.